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dimanche 12 août 2012

10 août: sans regrets

Alsisar Haveli
Au revoir Jaipur.
Nous ne te regretterons pas trop, mais nous ne savons pas encore si la suite sera plus calme.
Vous l'aurez compris, nous n'avons pas trop aimé cette ville. Il y a trop de bruit et trop de pollution. Sans parler des commerçants et rickshaws un peu casse-pieds, les gens nous ont semblé moins amicaux. Ils n'étaient pas agressifs pour autant, mais plutôt un peu, le terme n'est peut-être pas adéquat, « irrespectueux ». Mais bon, il fallait s'y attendre, vu que c'est une grosse ville et surtout un gros site touristique.
Nous prenons un train à 15h pour Agra, où nous arrivons à 19h25. 
Il fait déjà nuit et il tombe des cordes. Pour ne pas nous prendre la tête à l'arrivée, nous avons réservé hier par téléphone le Palmstay Bed&Breakfast (1500Rs petit-déjeuner indien ou occidental inclus). Un taxi nous attend à la gare et nous y emmène rapidement. La chambre située à l'étage de la maison familiale se révèle assez spacieuse, à la décoration simple, et surtout très propre. La famille est par ailleurs très sympathique.

Comme nous n'avons donc pas fait grand chose aujourd'hui, nous n'en rajouterons pas. A la place, voici quelques photos de l'hôtel de Jaipur (Alsisar Haveli) et quelques photos de singes, car nous savons qu'il y a des fans.

Alsisar Haveli: salon de lecture

Alsisar Haveli: un des patios

Alsisar Haveli: restaurant

Alsisar Haveli: piscine

Langurs Hanuman

jeune Langur Hanuman

Macaques rhésus

jeune macaque rhésus

vendredi 10 août 2012

9 août: la tête dans les étoiles

Ce matin le soleil brille. C'est un temps idéal pour aller à la gare.

Après négociations avec un rickshaw (cyclo-pousse), nous tombons d'accord sur un prix de 30Rs.
Mais pendant le trajet, il essaie de revoir le prix fixé à la hausse. Mais comme à chaque fois nous faisons mine de descendre, au bout de la 2e tentative, il n'insiste plus. 
Oui, ok, il ne demandait que 10Rs de plus. Mais bon, nous commençons à être un peu fatigués qu'on nous annonce à chaque fois des tarifs sur-gonflés.

Arrivés à la gare, nous nous dirigeons vers le guichet réservé aux étrangers qui se trouve dans un petit bâtiment devant la gare sur la gauche.
Il nous faut des tickets pour aller à Agra demain. Comme tout était plein, nous sommes venus aujourd'hui pour acheter des billets dans le quota Taktal (quota de dernière minute). A noter, que pour prendre des taktal au guichet ferroviaire, il faut présenter une photocopie du passeport. Bien entendu nous ne l'avions pas prévu, mais une petite échoppe devant la gare en fait pour 1Rs pièce, la ruine.

Une fois nos tickets en poche, nous prenons un Auto-rickshaw au guichet pré-payé dans le parking de la gare. Au moins comme ça, nous payons le juste prix.
Nous nous rendons au bureau d'Air India. En effet, nous avons complètement repensé nos étapes suivantes.
 Initialement, nous devions partir d'Agra vers Varanasi en train couchettes. Puis nous serions revenus en train couchettes vers Delhi, avant de rentrer en France. D'ailleurs, nous avions réservé ces trains depuis 1 mois.
Mais nous avons une grosse envie de voir le célèbre Temple d'or. 
Donc, nous quitterons Agra pour 3 nuits à Delhi, puis mercredi nous prendrons l'avion vers Amritsar dans le Penjab. Nous reviendrons ensuite samedi vers Delhi, avant de rentrer en France le lendemain.
Air India propose le tarif le plus intéressant sur ce trajet, 12000Rs (180euros) pour 2 allers/retours, honnête. Nous annulons sur internet nos réservations de trains dans la foulée. Nous ne perdrons que 400Rs dans la transaction.

Il est temps de déjeuner.
Nous attrapons, un auto-rickshaw pour rejoindre la New Gate (une des portes dans la fortification de la vieille ville), qui est assez loin puisque nous sommes dans le sud de Jaipur. Il nous demande 150Rs. Pas question, c'est 80 ou rien. Ici, pas un seul touriste à par nous, il accepte.

Nous déjeunons au Ganesh Restaurant, un petit boui-boui installé en plein air sur le mur d'enceinte au niveau de la new gate. C'est plutôt bon, rapide, et ça change des restaurants climatisés que nous avons testé ici.

Nous marchons ensuite jusqu'au Jantar Mantar. Ça fait quasiment 1km, et miracle, pas un commerçant ne nous interpelle. Et oui, sur ce boulevard, il n'y a que des fournitures scolaires. On nous fiche donc une paix royale. C'est la première balade agréable dans les rues de Jaipur.

Le Jantar Mantar est accolé au City Palace.
Quand on entre dans le parc, on découvre un ensemble de constructions monumentales étranges. Est-ce des jeux pour enfants, de l'art moderne ? Non, il s'agit d'un observatoire astronomique équipé de nombreux appareils de taille imposante, destinés à mesurer précisément les positions des étoiles, du soleil, à calculer les éclipses, etc.. Il a été construit en 1728 par le Maharaja Jai Singh féru d'astronomie.
Pas évident de comprendre pleinement le fonctionnement de toutes les installations. L'audioguide se révèle utile, mais pas suffisant et surtout un peu agaçant. Les explications sont données sous la forme d'un dialogue père-fille très gnangnan.

Après cet épisode astronomique, nous ne résistons pas devants les étals dans la rue, et faisons le plein de fruits (Papaye, 2 belles mangues, 2 grenades, 6 bananes) pour 120Rs. Ce sera la base de notre dîner ce soir. Ces fruits sont un régal, à des années-lumières de ce qu'on peut goûter en France.

Pour rentrer à l'hôtel, nous négocions avec des auto-rickshaws. Ils commencent à 180Rs, la bonne blague. Nous restons fermes, pas plus de 50Rs ! L'un deux revient vers nous et propose d'activer son compteur. C'est un véritable miracle sous nos yeux ébahis, nous qui commencions à croire que tous les compteurs étaient en panne. Mais nous sommes méfiants, leur fonctionnement étant notoirement aléatoire. Nous maintenons notre offre à 50Rs. C'est parti.
A l'arrivée, il regarde le compteur qu indique 68Rs. Pas de bol pour lui, nous ne donnons que les 50Rs de l'accord. Il nous jette un regard noir en partant. Nous ne sommes pas inquiets pour lui, il trouvera bien d'autres touristes à plumer.
C'est la fin d'après-midi, et le tonnerre gronde.
Nous restons dans notre chambre à préparer le reste de notre périple.

jeudi 9 août 2012

8 août: Amber et contre tout

La mousson est là !
Nous nous réveillons au bruit du tonnerre et de la pluie, une bonne grosse pluie.
Ça semble mal barré pour notre promenade à Amber. Mais à 10h ça s'arrête enfin, et le ciel ne semble pas trop menaçant.

A la sortie de l'hôtel, le conducteur d'auto-rickshaw d'hier nous alpague. Oui, effectivement, nous souhaitons avoir un chauffeur aujourd'hui. Nous voulons aller au fort d'Amber (à 11km), puis sur le retour faire un arrêt au Jal Mahal et enfin au « Temple des singes ».
D'emblée, il demande 800Rs. Nous refusons, et nous mettons d'accord sur 600Rs. C'est un bon prix...pour lui. Nous avons bien conscience de ne pas faire une affaire, mais les rues sont encore pleines d'eau boueuse, et la perspective de marcher cent mètres pour trouver un meilleur deal ne nous enchante pas. 

C'est parti pour Amber !
Nous traversons une Jaipur encombrée d'auto-rickshaws et de motos, et toujours aussi bruyante. Mais dès que l'on quitte la ville, c'est quasiment la campagne.
Dès que l'on approche de la citadelle d'Amber, la première chose qui vient à l'esprit c'est « Whaou ». Le fort est perché sur une proéminence, et il est protégé par la forteresse de Jaigarh dont les remparts suivent la ligne des crêtes des collines environnantes. Ça nous rappelle un peu la grande muraille de Chine. Amber a été la capitale des Maharajas rajpoutes jusqu'au 18e siècle lorsqu'ils ont déménagé à Jaipur.
Pour accéder au fort, on grimpe 10 minutes sur un chemin en côte où on croise les éléphants que les touristes peuvent emprunter pour monter.
Le fort est tout simplement majestueux. Il est immense, et dans le méandre des salles, il est facile de se perdre, d'autant plus que le parcours n'est pas fléché. C'est vraiment le site à ne pas louper lorsqu'on vient à Jaipur.Nous y restons plus de deux heures.

A la sortie, notre auto-rickshaw nous attend, et nous embarque vers le Jal Mahal, dit aussi Palais de l'eau.
Ce petit palais est planté au milieu d'un lac, et lorsqu'il y a de l'eau, et il y en a, il semble pratiquement flotter.
C'est très beau, mais nous ne nous éternisons pas car il fait vraiment chaud et après la pluie de matin, l'air est saturé d'humidité.

Nous nous arrêtons ensuite au temple des singes. Effectivement, il y en a un paquet. D'ailleurs à peine descendus du rickshaw, un gamin veut nous vendre des cacahuètes pour nourrir les singe. Hors de question, nous ne somme pas fous.. Un autre se propose de nous escorter pour nous protéger. Tu parles, avec ses 40kg tout mouillés il est vachement impressionnant. Merci, mais non merci.
Des bandes de macaques traînent tout au long du chemin qui mène au temple. Ils nous regardent avec convoitise. Avons nous quelque chose à manger ? D'expérience nous savons que cette espèce est bien plus agressive que les langurs. Mais pas de problème, il suffit de rester attentif, et de ramasser un cailloux dès qu'ils s'approchent trop. Ils ne sont pas idiots et savent bien qu'une pierre bien lancée ça fait mal. Au sommet du chemin une vue sur l'ensemble de l'agglomération de Jaipur s'offre à nous. On réalise mieux qu'il s'agit du ville de plus de 3 millions d'habitants.
Nous transpirons à grosses gouttes car le soleil est revenu, c'est donc l'heure de piquer une tête dans la piscine. Nous redescendons rapidement et remarquons que les singes sont plus insistants avec les visiteurs indiens. Ils doivent certainement plus souvent leur donner à manger que les étrangers.

Nous finissons l'après-midi dans la piscine. 
Vers 18h ça se couvre à nouveau, et l'orage éclate.


Nous ne sortirons pas dîner encore ce soir. Nous mangeons à l'hôtel, c'est toujours aussi bon, mais cher pour le pays (1500Rs à deux soit environ 23euros).

mercredi 8 août 2012

7 août: Rose bonbon

Notre hôtel date du 19e siècle, il semble que sa climatisation aussi. 
Elle est vraiment très bruyante, et nous avons mal dormi. En plus au réveil, il pleut sur Jaipur. Ça commence mal.

Finalement, la pluie ne dure pas longtemps, et nous partons en direction de la vieille ville.
Notre hôtel nous indique que l'auto-rickshaw devrait nous coûter entre 80 et 100Rs. C'est effectivement ce qu'il nous réclame. Mais ce n'est pas parce que nous logeons dans un hôtel de luxe, que nous devons payer le prix fort pour tout ! Nous négocions la course à 50Rs, et c'est bien payé.

Il est à peine 10h, et les rues de Jaipur sont encore relativement calmes. Même comme ça, elles sont bien plus bruyantes que n'importe quelle rue de Paris à l'heure de pointe. Un aspect amusant de la circulation, est sa diversité : voitures, motos, auto-ricksahws, rickshaws (cyclo-pousse), quelques carrioles tractées par de petits chevaux, et parfois une carriole tirée par un dromadaire.
Palais des vents
A l'image des principaux monuments, les murs des bâtisses de la vieille ville sont tous peints en diverses nuances de rose foncé. Jaipur est connue comme la ville rose.

Nous démarrons nos visites au Palais des Vents, dont la façade rose est percée d’innombrables fenêtres permettant aux dames d'observer discrètement la rue, et générant à l'intérieur d'agréables courants d'air. L'intérieur est assez vide, les cours et les balcons se succèdent, mais la visite est néanmoins sympathique.
Nous nous rendons ensuite au City Palace.
Palais des vents
Sur le chemin, un homme nous interpelle : « Dites-moi. Pourquoi les touristes refusent-ils de parler aux indiens ? ». Ok, c'est le deuxième depuis hier à nous accoster comme ça. Il s'agit d'un truc archi-connu, qui déboule inévitablement sur une arnaque aux pierres précieuses, ou autre.
Nous laissons parler le filou, en entretenant un doute sur notre nationalité ce qui le trouble un peu. Et ça lui évite de nous amuser avec les classiques expressions françaises « comment ça va ? », « comme ci comme ça ». A la fin, lorsqu'il indique que justement, sa boutique d'art est juste en face, nous lui serrons la main avec une tape sur l'épaule en le remerciant pour cette agréable rencontre, et le plantons là hébété.
City Palace

Le City Palace est l'ancienne résidence des Maharajas de Jaipur, dont une partie a été convertie en musée. Le style est très différent des précédents palais que nous avons visités. Il date du 18e siècle, les murs comportent peu de reliefs sculptés (sauf un pavillon) et le rose domine. L'ancienne salle de réception est particulièrement fastueuse, mais malheureusement, comme dans d'autres salles, les photos y sont interdites. C'est un très beau palais. Par ailleurs, comme le palais des vents, il a un intérêt indéniable : le calme.
Car ici, c'est vraiment une chose précieuse.
Lorsqu'on marche dans la rue, tous les auto-rickshaws nous interpellent. Les cyclo-pousses également. Et les marchands du bazar, n'en parlons pas. Mais bon, ça ce n'est pas bien méchant, on en fait vite abstraction.
Le vrai problème, c'est le concert de klaxons ininterrompu qui se mélange aux bruits de moteurs. Dans certaines rues c'est presque insoutenable tellement c'est fort.
Ajoutez à ça, la chaleur très humide et la pollution (un mélange de poussières et de vapeurs d'essence), et on comprend pourquoi certains touristes ne quittent leur hôtel qu'à l'intérieur de véhicules climatisés bien fermés qui les mènent d'un site à l'autre.

Nous, après un bon déjeuner de spécialités rajasthani au LMB, nous rentrons à pieds, car nous sommes trop têtes de mules pour céder aux prix excessifs des auto-rickshaws. Mais je sens que cette lubie de marche à pieds va vite nous passer.
Il est 16h, nous arrivons à l'hôtel pour nous détendre et surtout profiter de la piscine. Mine de rien, nous avons bien marché 6 ou 7 km aujourd'hui.
Nous nous douchons rapidement pour ôter la poussière de la rue, et sautons dans nos maillots de bain.
Sauf qu'il pleut !! Cela fait 16 jours que nous sommes en Inde, 16 jours. Et c'est la première fois qu'il pleut l'après-midi ! En fait c'est la 3e averse du séjour. Pourquoi cet après-midi? Pourquoi ?!

Cela durera pratiquement jusqu'au soir. Trop la flemme de ressortir, nous dînons au buffet de l'hôtel. Délicieux, mais tout de même 600Rs (environ 9 euros) par tête, hors taxes.
Ça change des petits restos habituels à 400Rs à deux.

lundi 6 août 2012

6 août: Comme des Maharajas

Pour quitter Puskar, il n'y a pas 36 solutions, il faut prendre le bus.
Ensuite pour Jaipur, il semble que la plupart des gens choisisse de prendre le train à Ajmer, ou bien carrément de prendre des bus bookés dans les agences de voyages de Pushkar. Cette dernière solution est tentante, mais les horaires (7h, 15h, 16h) ne nous plaisent pas trop. 
En plus notre hôtel nous a indiqué que des bus directs partent toutes les demi-heures jusqu'à 9h30, puis toutes les heures, à partir de la gare routière de Pushkar à 3 min à pieds. On ne peut pas réserver d'avance sa place dans ces bus. Le monsieur à la moustache et aux cheveux tous blancs enfermé dans la cahute de la gare nous la confirmé hier.
Ce matin, nous partons donc à la gare à 8h27 (nous ciblons le bus de 9h). 
A 8h30 nous avons les tickets en mains. Le prix est ridiculement faible (112Rs/personne) en regard des 3h30 de route annoncées. 
A 8h34, on nous fait signe de sauter dans le bus qui est déjà archi-plein. 
Oh, le voyage va être long. Tant bien que mal, nous nous tassons dans l'allée centrale, et arrivons même à glisser nos sacs dans les porte-bagages. Heureusement, au bout de 20 minutes, le bus arrive à Ajmer et se vide. Il y reste 20 minutes, le temps que d'autres passagers embarquent. Mais il n'est pas vraiment plein, car il semble que de nombreux bus font le même trajet à quelques minutes d'intervalle.
Le voyage passe assez vite, et nous arrivons à la gare routière principale de Jaipur à 12h25.
Nous rejoignons notre hôtel à pieds, car il est à seulement 10 minutes. 
C'est notre habituelle étape « haut de gamme ». Dans tous nos voyages, nous nous ménageons quelques jours dans un hôtel de catégorie supérieure, avec pour condition première d'avoir une belle piscine. Sur le site SNCF, nous avons réservé depuis la France, 4 nuits à l'Alsisar Haveli, pour 42 euros la nuit, petit-déjeuner inclus. Avec ce tarif promotionnel, avouez que nous ne cassons pas vraiment notre tirelire.
Les rues à proximité de l'hôtel, poussiéreuses et très bruyantes nous font craindre une « erreur de casting ». Mais dès que nous franchissons les portes du pavillon de l'accueil, nous sommes ravis. 
C'est tout simplement magnifique. Le bâtiment original date du 19e siècle, et fait penser à un petit palais de Maharaja. Notre chambre est très belle, elle est située dans un pavillon sur la terrasse du premier étage, juste au-dessus de la piscine.
Nous déjeunons dans la magnifique salle de restaurants aux arcades de style rajpoute , aux plafonds hauts décorés de tableaux, sous les regards des Maharajas de Jaipur.
Nous passons ensuite l'après-midi dans la piscine à barboter sous le regard des pigeons qui se baignent dans la fontaine.

Nous décidons tout de même d'affronter la pollution, et d'aller prendre un lassi dans le célèbre Lassiwala (des lassis depuis 1944!). Nombre de concurrents sur la même rue ont adopté le même nom, pas simple de trouver l'original.
Le lassi est ici servi dans un pot en terre cuite. Quel délice !! Nous avons l'impression de seulement découvrir aujourd'hui le véritable lassi.
Nous marchons encore un peu dans la rue principale et dînons au Moti Mahal Delux. Assez bon, mais nettement plus cher (environ 250Rs le plat) que nos repas habituels.
Nous rentrons ensuite à l'Alsisar, dans le bruit, la pollution et la poussière, qui poussée par le vent nous pique les yeux.

Première impression sur Jaipur : moyen, moyen.